Le mouvement combiné du bras et du poignet qui se repentent simultanément d'un mouvement antérieur et reviennent sur leurs pas.
C'est un volume insignifiant en perpétuelle évolution, c'est une forme créée par l'effacement d'une surface. La gomme n'est pas un simple amas de matière, elle est tout ce qu'elle a détruit, le résultat de milliers de traits avortés.
C'est cette empreinte de la surface sur le volume, concentrée en un objet dérisoire, voué à disparaître, que j'ai voulu souligner à travers cette série.
j'aime beaucoup la série des gommes et la photo sucre/mouche/édredon.
RépondreSupprimerj'ai d'abord cru que le sucre était aussi une photo d'Alexandre, avant de me rendre compte - et c'est d'ailleurs évident - que c'est une photo d'Eric. Mais j'y vois une relation, hé hé.
RépondreSupprimerMerci Laurence. La photo mouche-sucre n'est pas de moi, c'est à Eric que revient ce mérite.
RépondreSupprimeroui, c'est une question d'échelle je suppose (et de blanc)
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